Bonjour. Je suis étudiant en ingénierie du logiciel à Intech Dax, un campus du groupe AEN. Etant en alternance, je travaille aussi au sein de la Base Ecole Gal Navelet à Dax au sein de l'Armée de Terre en tant qu'alternant développeur, à la Brigade de Formation Assistée par Ordinateur (BFAO). Dans mon travail, j'ai tendance à préférer essayer de maîtriser un domaine jusqu'à un niveau que je trouve satisfaisant avant de passer à un autre, ce qui fait que j'ai tendance à me spécialiser. Cela ne m'empêche pas d'essayer de nouvelles choses, mais je préfère me concentrer sur un aspect particulier avant de passer à la suite. Durant mon temps libre, je m'investis beacoup dans le milieu associatif, notamment dans l'Esport (les sports électroniques, les compétitions de jeux vidéos pour faire simple), ce qui m'a apporté beaucoup de choses, notamment au niveau relationnel, un domaine dans lequel j'avais encore beaucoup de mal il y a quelques années. De ce fait, je pense que l'une de mes plus grande qualités est la gestion du stress et des imprévus. En effet, ayant souvent l'occasion de faire de l'évenementiel, ces deux éléments se retrouvent toujours présent lors de la préparation, et ce jusqu'au jour même de l'événement. J'ai eu l'occasion d'affronter de multiples situations de ce genre, ce qui me permet désormais de rester assez calme lorsqu'elles se présentent. A l'heure actuelle, je n'ai pas vraiment d'objectif professionnel clair, je souhaite simplement prendre en compétences pour pouvoir être le plus efficace possible dans mon métier. Tant dans le milieu professionnel qu'associatif, mon objectif est d'être quelqu'un sur qui l'on peut toujours compter, que ce soit pour mes compétences techniques ou mes compétences humaines. Concernant mes centres d'intêret, vous l'aurez compris, j'aime beaucoup les jeux vidéos et l'organisation de tournois. Mais ce ne sont pas les seules choses que je fais de mon temps libre. Je suis aussi un très grand fan de musique (notamment du rock/rock psychédélique) et de cuisine, et je prend beacoup de plaisir à essayer de mélanger ces trois passions.
2023 : Cisco Devnet Associate 2023 : TOEIC
Alternant à l'armée de terre en tant que développeur
Alternant à Euskal Herria Bai en tant que développeur web
Stagiaire développeur à Capgemini Nantes
Etudiant en spécialité ingénierie du logiciel
Le Student Gaming Network (SGN), la fédération des associations étudiantes françaises d’eSport. Le SGN a pour but de promouvoir le jeu vidéo et l’eSport étudiant sous toutes ses formes. Comptant près de 60 associations membres, le SGN veut pouvoir faire entendre la voix des étudiants dans l’eSport, et porter les projets créés par les étudiants et pour les étudiants.
En 2018, Riot Games, éditeur du jeu League of Legends, lance une ligue étudiante
nationale en France, avec pour objectif de créer une compétition ouverte à tous les
niveaux. Après avoir participé au premier segment, je rejoins l’équipe
d’organisation de la compétition, qui est gérée par le SGN. J’ai le rôle d’ « Admin
», qui peut se rapprocher du rôle d’arbitre sur des compétitions plus classiques. Je
suis là pour répondre aux questions des joueurs, arbitrez lors de conflits, et faire
être un lien entre les joueurs et l’organisation de la compétition. Cette dernière
évoluant au fil des années, chaque admin se voit aussi petit à petit devoir prendre
un peu plus de responsabilité individuelle, notamment en gérant de grosses poules
d’une dizaine d’équipe pendant une bonne partie de chaque segment.
En juillet 2021, l’évolution du format de la compétition ne me plaît plus, et je
quitte donc l’équipe d’organisation de la Grosse Ligue. C’est à peu près à ce moment
que je deviens aussi officiellement membre du SGN, et que j’intègre logiquement le
pôle tournoi de l’association. Malheureusement, ce dernier étant un peu à l’arrêt
(en dehors de la Grosse Ligue), je me retrouve principalement à donner un petit coup
de main sur plusieurs projets déjà en cours lors de ma première année dans
l’association.
Quand je rejoins le SGN, cela faisait quelques temps déjà que le pôle tournoi était
un peu « endormi », et que la Grosse Ligue était presque le seul tournoi organisé
par l’association. Pour l’année 2022/2023, il est décidé d’enfin raviver ce dernier,
et je suis passe donc co-responsable du pôle tournoi avec 2 autres membres.
En tant que responsable, nous arrivions chacun avec un projet que nous voulions
organiser dans l’année, mais nous devions aussi et avant tout restructurer le pôle
pour lui permettre de rester actif même après notre passage. Cela passait par
l’organisation de réunions avec tous les membres du pôle, ainsi que l’organisation
de petits tournois internes (une bonne ambiance amenant souvent une motivation
accrue)
Concernant le projet que je souhaitais réaliser, il s’agissait de l’organisation
d’une ligue étudiante sur le jeu Super Smash Bros Ultimate. Ce projet avait pour but
d’organiser des tournois dans des grandes villes de France pour ensuite terminer
avec un tournoi final de tous les gagnants. Il s’agissait de la première fois que
j’étais chef de projet sur un projet de cette taille, et ce ne fut pas sans
difficultés, la principale étant la perte de motivation des membres du projet
(n’étant pas en entreprise, personne n’a de réelle obligation de présence, et le
manque de motivation peut se faire ressentir très vite).
Heureusement, le projet réussit quand même à se concrétiser, d’autant plus qu’à la
suite de plusieurs évènements que je ne peux détailler, le tournoi sera finalement
organisé avec ALTEN et Vitality (une des plus grosse structure eSport d’Europe), et
comportera 4 étapes : Paris, Lyon, Rennes et Lille, avec une finale à Paris dans les
locaux de Vitality. Je suis personnellement chargé de l’organisation de l’étape de
Lille, qui se déroulera dans les locaux de l’ISEN, avec l’aide de l’association
d’eSport de l’école. Il nous faut donc en amont gérer le planning, l’organisation
des salles, la répartition des bénévoles, la restauration ainsi que disponibilité du
matériel (un tournoi de cette taille demandant beaucoup d’écrans).
L’étape ayant eu lieu en dernière (le 18 novembre), nous avons eu la chance de
pouvoir apprendre des erreurs commises sur les autres étapes, comme la mauvaise
communication autour de l’interdiction des spectateurs à cause du plan Vigipirate.
Ainsi, le jour même tout s’est bien déroulé, et nous n’avons eu aucun problème
majeur.
Bien qu’il y ait un système de pôle au SGN, personne n’est limité dans les projets
qu’il peut choisir.
Ainsi, j’ai eu l’occasion de participer à l’organisation des Assemblées Générale de
novembre 2022 et 2023, en m’occupant de la gestion des goodies, de l’organisation du
planning de la journée, ou encore en aidant au bon déroulé le jour même.
J’ai aussi pu participer à l’organisation des activités du Weekend d’Intégration de
2023, qui a regroupé une près d'une trentaine de personne pendant 3 jours et demi.
Enfin, en juin 2023, le SGN a organisé la deuxième édition du marathon de streaming
caritatif SGNow, au profit d’Action Protection Animale. Etant dans l’équipe de
logistique, j’ai participé au bon fonctionnement de l’évènement en préparant par
exemple les repas, ou en gérant le planning de sommeil (certaines personnes doivent
en effet être forcées à aller dormir).
Le SGN est une part importante de ma vie depuis que je l’ai rejoint. Même si les débuts ont été difficiles, c’est une association dans laquelle j’ai beaucoup appris sur la gestion de projet en évènementiel, mais aussi dans les rapports humains. Mon passage en tant que responsable du pôle tournoi m’a aussi permis d’en apprendre beaucoup sur la gestion de projet. C’est une association dans laquelle j’apprend beaucoup avec chaque projet, et j’espère pouvoir encore beaucoup progresser à l’avenir.
En décembre 2018 sort le jeu vidéo Super Smash Bros Ultimate (SSBU) sur Nintendo Switch, un « Platform Fighter » (un jeu de combat sur plateformes). C’est un jeu sur lequel des compétitions sont organisées asse régulièrement et qui a beaucoup gagné en popularité depuis la fin du Covid. En février 2022 a eu lieu le premier tournoi au tournoi au Pays basque, organisé par une toute nouvelle association du nom de Smash Côte Basque (SCB), que je rejoins d’abord en tant qu’adhérent, puis très rapidement en tant qu’un des organisateurs desdits tournois.
A l’époque où je rejoins l’équipe d’organisation de l’association en novembre 2022, c’est encore une association jeune et qui débute dans le milieu de l’organisation de tournoi. Elle a à son actif une petite dizaine de tournois, réunissant à l’époque entre 7 et 46 participants (à titre de comparaison, à l’époque le plus grand tournoi organisé dans le monde avait atteint les 2000 participants aux Etats-Unis, et 1024 en France). Notre but à ce moment est donc de consolider la base que nous avons déjà pour permettre à l’association de grandir et d’être plus stable, notamment économiquement. En effet, organiser un tournoi sur SSBU demande un certain budget (location de salle, achat d’écrans, de multiprise, et de tout ce qui peut améliorer l’expérience des joueurs).
Quand je deviens Tournament Organiser (TO), mon rôle est assez simple : aider à
l’organisation du tournoi. Pour ce faire, j’aide à installer le matériel avant les
tournois, m’occupe de rentrer les scores et de faire avancer l’arbre du tournoi, et
aide à ranger le matériel à la fin du tournoi. En dehors des évènements, je
participe aussi aux discussions concernant l’organisation avec tous les autres TO.
En mars 2023, après avoir aidé à l’organisation d’une douzaine de tournoi, je
rejoins le Conseil d’Administration de l’association, à la suite du départ de deux
des membres. Désormais, je participe donc aux discussions sur la direction que doit
prendre l’association.
En septembre 2023, lors de l’assemblée générale marquant le début de la saison, je
passe trésorier de l’association. Je dois donc désormais me charger de la
comptabilité ainsi que de la projection budgétaire de l’association.
C’est aussi à cette époque que nous décidons avec le conseil d’administration de
passer à l’étape suivante. L’année 2022/2023 ayant permis à l’association
d’atteindre une sorte de rythme de croisière, l’année 2023/2024 devait être une
année ou nous en profitions pour augmenter la qualité et la taille de nos tournoi.
Ainsi, nous avons pu organiser nos premiers tournois réguliers à 60+ joueurs, et
nous préparons pour juillet 2024 notre premier 128 joueurs.
Etant une association, nous souhaitions aussi proposer plus que des tournois pour
participer à la vie locale. Ainsi, nous faisons donc désormais régulièrement des
prestations pour présenter SSBU ainsi que la compétition sur les jeux vidéo. Nous
avons notamment pu travailler avec l’espace jeune de la Maison pour Tous d’Anglet et
nous auront l’occasion d’avoir un petit stand lors de la Gay Pride 2024 de Biarritz.
Smash Côte Basque est une association qui m’as permis de beaucoup apprendre sur beaucoup d’aspect de moi-même. Le fait d’être au contact des gens lors des tournois m’a beaucoup aidé à améliorer ma communication. Être trésorier m’a permis de mieux comprendre la gestion d’un budget, et qu’être trop optimiste ou négatif à ce niveau est dangereux pour la pérennité d’un projet. Enfin, le fait de faire partie du Conseil d’Administration m’as permis de réaliser tous les défis qu’impliquent le fait de gérer une structure. C’est un apprentissage de tous les jours, et je suis certain que dans un an j’aurais encore beaucoup grandi de cette expérience.
EHBai (Euskal Herria Bai), c’est là où j’ai pu réaliser ma première année d’alternance, d’octobre 2021 à octobre 2022. C’est un parti politique basque (comme son nom l’indique, littéralement « Oui au Pays Basque »), ce qui en a fait un environnement très spécial pour une de mes premières expériences professionnelles. En effet, la combinaison du peu de salariés (nous étions 4) avec le fait que, et bien un peu tout tournait autour de l’agenda politique d’EHBai, a rendu cette alternance très particulière.
Une association de la taille d’EHBai est une association qui a besoin d’outils
informatiques solide. Leurs adhérents se comptant en centaines, il est important
d’avoir un outil pour faciliter la gestion de leurs informations nécessaire au bon
fonctionnement de l’association. Aujourd’hui, encore beaucoup d’association
utilisent Excel, ou un outil similaire pour ça. Cependant, bien qu’étant un outil
très puissant, il n’est pas forcément adapté aux besoins d’une association, et peut
montrer assez vite ses limites. Ainsi, EHBai a fait dû faire appel avant mon arrivé
à un indépendant pour créer un outil de gestion de leurs adhérents qui était adapté
à leur besoins.
A l’heure où je rejoins EHBai, cela fait presque 2 ans que cet outil leur a été
livré. En 2 ans, les besoins de l’association ont bien évolué, et je suis donc là
pour mettre à jour cet outil. En effet, bien qu’il soit encore utilisable, ayant été
réalisé rapidement il présente quelques défauts qu’il me faut corriger. Le premier
est l’ajout de certaines fonctionnalités (notamment la modification des adhérents,
le plus urgent), mais il y a aussi une refonte nécessaire de la base de données,
EHBai ayant des projets d’un potentiel intranet, et celle-ci étant tout juste
fonctionnelle pour la gestion des adhérents.
Etant seul sur le projet, j’ai pris la décision de commencer par le plus complexe,
la refonte de la BDD. L’objectif était d’obtenir une BDD qui regroupe les
différentes bases de l’association, et qui pourrait un jour servir pour l’intranet.
La réalisation de cette nouvelle BDD m’a pris quelques semaines, certaines
fonctionnalités m’ayant été demandée lorsque j’allais finaliser mon travail. Elle
est cependant terminée et en version finale en décembre 2021.
Vient ensuite l’outil de gestion des adhérents. Il ne s’agissais pas d’un travail
très complexe en soi, dans la mesure où il me fallait ajouter assez peu de
fonctionnalité (une option de modification des adhérents, et quelques refontes/ajout
dans l’interface), mais le Template qui avais été utilisé pour créer l’outil m’était
inconnu et très peu utilisé, ce qui m’a ralenti, le temps de comprendre ce dernier.
Un enchainement de raisons personnelles et professionnelle (mon travail sur ce
projet ayant été interrompu par d’autres plus urgents) fait que la mise en place de
la nouvelle BDD ainsi que de l’outil de gestion des adhérents n’a pu être effectuée
qu’en août 2022.
Vers la mi-janvier 2022, un problème important remonte : le formulaire d’adhésion est particulièrement laid. Je m’attelle donc à la tâche pour le remettre au goût du jour. C’est une petit projet web simple, mais qui comporte un défi important : l’esthétique. Me remettant du Covid à l’époque, il m’a été un peu plus compliqué de travailler efficacement dessus, c’est pourquoi il n’est terminé qu’en début mars (mais au moins il est beau)
En février 2022, un stagiaire rejoint l’association pour une durée d’un mois, et je suis chargé de l’encadrer. Durant son stage, il a pour mission de créer une page internet dynamique pouvant afficher les élus EHBai en fonction de leur emplacement. Il s’agissait d’un petit projet web simple, sur lequel j’ai pu lui prodiguer des conseils sur la méthodologie à adopter et l’aider notamment sur la mise en place de l’AJAX.
Bien que la BDD ait été refaite, le projet de l’intranet a été repoussé, et ne se
ferait pas l’année suivante. Ainsi, je n’ai pas pu être repris, l’utilité d’un
alternant développeur étant proche de zéro pour l’association.
Malgré cela, je suis très satisfait de cette année, et des différents projets que
j’ai pu réaliser pour EHBai. J’ai pu me repencher sur des technologies qui
m’intéressait beaucoup, et ai eu l’occasion d’avoir de véritables défis, comme
travailler seul sur un projet de cette ampleur, ou encadrer un stagiaire.
C’était une année de nouveauté pour moi, que ce soit dans le contexte du projet ou
les méthodologies de travail, et j’ai pu beaucoup apprendre, notamment dans ma
manière de travailler
A la fin de mon stage à Capgemini Nantes, j’ai eu l’occasion de travailler sur le site Les Bons Clics, une plateforme d’accompagnement pour faciliter l’inclusion numérique. Il s’agit d’une plateforme de WeTechCare, une startup sociale d’Emmaüs Connect (une association luttant pour l’inclusion numérique). J’ai donc rejoint pour un peu plus d’un mois une équipe composée de 3 alternants, d’un scrum masters, et de 3 développeurs WeTechCare.
Les Bons Clics est une plateforme numérique qui a pour objectif de permettre aux
personnes en situation de fracture numérique de se familiariser avec les outils
informatiques. Pour ce faire, le site met à disposition de la documentation et des
formations, mais permet aussi de mettre les utilisateurs avec des accompagnateurs.
Ainsi, il est primordial que l’interface soit claire et accessible au plus grand
nombre. Ce fut l’un des défis principaux, dans la mesure où il ne fallait pas
seulement quelque chose de lisible pour un utilisateur moyen, mais bien pour
quelqu’un qui n’y connaissait rien.
En tant que stagiaire présent sur le projet pendant seulement 2 mois, mon rôle était
surtout d’apprendre et de donner un coup de main sur un projet qui arrivait à son
terme. Cela commençait par découvrir le projet, ainsi que le Template Symfony, un
Template sur lequel je n’avais encore jamais travaillé.
J’ai personnellement eu l’occasion de travailler sur certaines fonctionnalités de
gestion des utilisateurs, le site ayant un système de modération. La difficulté
principale de l’ajout de ces fonctionnalités reposait surtout sur le fait qu’elles
devaient être accessible sur des écrans visibles par tous les types de comptes, mais
uniquement utilisable par certains utilisateurs.
En travaillant sur l’ajout de ces fonctionnalités, j’ai donc pu comprendre bien plus
précisément le fonctionnement d’un projet utilisant le Template Symfony. Ainsi, j’ai
rapidement pu utiliser des méthodes que l’on pourrait penser peu orthodoxe pour
implémenter les ajouts sur lesquels je travaillais, mais qui se sont révélées
parfaitement adaptées au projet.
Sur les dernières semaines du projet, ce dernier touchant à sa fin, je n’ai pas eu
l’occasion de travailler sur des ajouts très intéressant. Je me suis donc occupé des
tickets que personnes ne voulait, des fonctionnalités simples et peu enrichissantes
à réaliser, comme l’ajout de bouton, ou la correction de certains bugs mineurs, qui
ne méritaient pas d’avoir de développeur sénior s’y attarder.
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un projet sur lequel j’ai pu travailler longtemps, ce fut tout de même une expérience très enrichissante. Il s’agissait tout d’abord de ma première expérience professionnelle avec un chef de projet/scrum master qui avait adopté dans sa manière de gérer un projet le bien être des membres du projet, un aspect trop souvent oublié dans le monde professionnel. J’ai aussi eu l’occasion de découvrir un nouveau Template, qui m’a permis de consolider mes acquis en PHP.
Smash Côte Basque est une association qui organise des évènements autour du jeu Super Smash Bros Ultimate. J’ai rejoint l’association en tant qu’organisateur de tournois en novembre 2022, puis je suis élu au conseil d’administration et nommé trésorier en 2023. La croissance progressive des activités de l’association a fait se poser la question de la création d’un site internet dédié. Comptant parmi nos membre quelques développeurs, nous avons décidé de le réaliser nous même plutôt que de faire appel à une tierce personne.
Le premier objectif d’un tel site est tout d’abord de servir de vitrine pour notre
association. Il doit donc être esthétique, et présenter toutes les informations que
des visiteurs pourraient venir chercher (calendrier et informations des tournois,
prix et avantages de l’adhésion, activités annexes, etc…).
Il doit aussi servir d’outil de gestion de buvette et de comptabilité, l’utilisation
de Google Sheets pouvant se montrer complexe par moment.
Des outils spécifiques à la gestion de tournois doivent aussi être implémentés,
comme la possibilité de générer des Top 8, ou encore la possibilité de réaliser le
seeding automatiquement (placements préliminaires des joueurs pour générer l’arbre
d’un tournoi). Il est aussi très intéressant de pouvoir afficher un classement des
meilleurs joueurs régionaux selon les saisons.
A l’heure où j’écris ces lignes, le site est encore loin d’être terminé. La plupart
des fonctionnalités sont cependant dans un état assez avancé, et nous prévoyons de
terminer le tout pour la fin 2024.
Concernant le travail que j’ai pu apporter sur ce site, j’ai pu travailler tout
d’abord sur l’outil d’automatisation du seeding. Le fonctionnement est en théorie
assez simple, puisqu’il s’agit d’un appel à l’API de start.gg (le site sur lequel
nous gérons nos tournois), qui récupère les statistiques de tous les joueurs
participant à un tournoi, avant de les classer en fonction de leur niveau. Il faut
cependant prendre en compte beaucoup d’informations, ce qui en fait un véritable
défi algorithmique.
J’ai aussi pu apporter mon aide sur la création de l’outil de génération de Top 8,
une page permettant de choisir les différentes informations sur chaque joueurs
(personnage joué, équipe, etc…) avant de générer une image. L’objectif est
actuellement d’automatiser ce processus via l’API start.gg, mais certaines
informations ne sont pas disponibles sur cette dernière.
Concernant les outils de comptabilités, ils ne sont, à l’heure où j’écris ces
lignes, pas encore commencés, de même que l’aspect vitrine du site. En effet, pour
l’instant bien que nos outils actuels ne soient pas idéaux, ils conviennent tout de
même en grande partie à nos besoins, et nous préférons nous concentrer sur des
projets plus importants à l’heure actuelle pour l’association.
Bien que le projet ne soit pas encore terminé, il est tout de même assez formateur. En effet, même s’il peut s’agir d’un projet classique au premier abord, le fait qu’il soit réalisé en tant que bénévole dans un milieu associatif a créé un contexte particulier, dans lequel il fallait veiller à réaliser quelque chose correspondant à nos besoins, sans pour autant se laisser emporter par les possibilités (la plupart des bénévoles n’ayant pas le temps pour ça). Cependant, bien que le site dans première version devrait être mis en ligne vers fin 2024, il n’est pas exclu que l’on rajoute des fonctionnalités beaucoup plus complexes par la suite, comme un outil de gestion des adhérents.
Le développement web est une des premières compétences que j’ai pu apprendre en programmation, la première année de cours à Intech y étant dédié. Dès le début, le développement web était un sujet que j’appréciais particulièrement. Je n’ai cependant pas beaucoup eu l’occasion de travailler sur des projets web. En effet, à ce jour, je n’ai que 3 projets web à mon actif (je ne compterai pas le projet réalisé lors du premier semestre à Intech, puisque nous n’avions pas le droit d’utiliser certaines technologies dans ce dernier). Par projet web, j'entends les projets ayant eu pour but de créer un site internet, majoritairement en PHP, HTML/CSS et Javascript, peu importe le framework utilisé. Le premier est tout simplement celui auquel j’ai participé durant mon deuxième semestre à Intech, « Padoubli », dont l’objectif était de créer une plateforme facilitant la gestion du planning des pensionnaires d’EHPAD. Un projet assez ambitieux, surtout que nous partions de 0. Notre objectif sur le semestre n’était bien évidemment pas de fournir un projet fini, nous avions beaucoup trop peu d’expérience pour prétendre à une telle efficacité. Nous devions simplement rendre une maquette fonctionnelle, qui servirait ensuite à notre commanditaire pour développer le projet plus en profondeur. Lors de ce projet, je me suis principalement occupé de tout ce qui touchait de près ou de loin au développement en PHP. Je n’ai malheureusement pas pu vraiment m’occuper de l’aspect dynamique et de l’interface utilisateur, notamment parce que nous prenions petit à petit du retard, et qu’à l’époque, ce n’était vraiment pas ma tasse de café (en rétrospective, je regrette quand même de ne pas m’être plus intéressé à tout ceci, cela m’aurait été bien utile par la suite). Le deuxième projet sur lequel j’ai eu l’occasion de ne faire que du développement web est aussi le deuxième sur lequel j’ai été affecté durant mon stage chez Capgemini, Les Bons Clics. Je ne suis pas resté sur ce dernier très longtemps, mais globalement j’ai eu l’occasion de découvrir un nouveau Framework (Symfony), et de confirmer que le développement web était vraiment le domaine dans lequel j’étais le plus doué. Le dernier projet dont je parlerai est le projet qui a occupé la totalité de ma première année d’alternance, la refonte des outils informatiques d’EHBai. Pour présenter très rapidement, EHBai est un parti politique basque qui avait besoin de mettre à jour leurs outils informatiques. Quand je suis arrivé (et même pendant les entretiens), on m’a très vite informé sur le fait que j’allais être plus ou moins seul dans le développement du projet. Même si ça pouvait paraitre inquiétant, j’étais assez confiant sur mes capacités techniques pour mener le projet à bien (là où j’avais un peu plus peur cependant, c’était sur ma capacité à bien m’organiser seul). J’ai donc pu travailler à la refonte de 2 éléments durant ce projet : le premier et le plus important, leur plateforme de gestion des adhérents. Cette dernière avait été réalisé par un indépendant, qui avait fait du travail qualitatif, mais qui avait dû laisser certains aspects dans un état disons moins travaillé, car EHBai avait besoin de cette plateforme très rapidement. Le plus gros de travail a été une refonte de la base de données, et donc ensuite d’adapter tout le site à cette dernière. Le deuxième élément sur lequel j’ai pu travailler était leur formulaire d’adhésion. Ce dernier était franchement très moche, et avait besoin d’une refonte urgente, surtout qu’ils prévoyaient une campagne importante pour les élections législatives qui arrivaient. Le plus gros problème que j’ai eu c’était de devoir faire quelque chose de beau. En effet, même si je sais plutôt bien utiliser le CSS et des Framework permettant d’avoir un résultat plutôt esthétique, je suis loin d’être designer, et une bonne partie de la refonte a été passé à essayer d’avoir un beau résultat (heureusement, j’ai beaucoup été aidé à ce niveau-là). Enfin, j’ai aussi eu l’occasion d’aider un stagiaire présent quelques semaines, qui avait pour mission de réaliser un affichage dynamique des élus. J’ai pu ainsi mettre à l’épreuve mes connaissances en AJAX (que je n’appréciais pas particulièrement), et, même si cela s’est avéré compliqué au départ, j’ai pu bien aider ce stagiaire. Avec tous ces projets, j’ai pu travailler sur beaucoup d’aspects différents du développement web. J’ai eu l’occasion de travailler sur le backend et sur le frontend, et je pense avoir beaucoup appris sur chacun d’eux, à chaque fois sur des domaines différents. J’espère avoir l’occasion de développer encore plus mes compétences en développement web à l’avenir, d’autant que cela reste un de mes domaine préférés. Mon objectif principal à l'heure actuelle est surtout d'améliorer la vitesse à laquelle je travaille sur un site, et de pouvoir à terme être le plus efficace possible, que ce soit dans le développement de petits sites avec seulement quelques fonctionnalités, que dans le développement de sites beaucoup plus complexes, tels que LesBonsClics.
Le SQL est un langage que j’apprécie beaucoup, même si j’ai eu quelques difficultés à le prendre en main par moment. Dans le cursus d’Intech, nous commençons l’apprentissage de celui-ci au deuxième semestre, après avoir vu les bases du développement web lors du premier. C’est donc un langage avec lequel j’ai beaucoup eu l’occasion de travailler, notamment via MySQL. Une très grosse partie des projets auxquels j’ai participé ont eu une Base de Données en SQL, et une bonne partie de ces dernières était gérées par MySQL. Cependant je pense que 2 d’entre eux se démarquent particulièrement, le premier et le dernier (à ce jour), où le SQL a pris une part importante du projet. Le premier projet est donc tout simplement celui que j’ai réalisé lors de mon deuxième semestre d’études à Intech. Pour le décrire très rapidement, l’objectif était de créer une maquette fonctionnelle d’un site facilitant la gestion des emplois du temps en EHPAD, en permettant notamment les pensionnaires et leurs familles d’être un peu plus impliqués dans la gestion de ces derniers. Pour cela, il fallait bien évidemment une BDD capable de gérer le tout. La structure de cette dernière été relativement simple, puisque globalement il n’y avait que les établissements, et, en dessous chaque type d’utilisateur (soignant, pensionnaire, famille, etc…). Etant celui le plus à l’aise avec le SQL dans le groupe, je me suis donc naturellement chargé de tout ce qui touchait de près ou de loin à la gestion de la BDD (je n’ai pas tout réalisé tout seul, il ne faut pas exagérer, mais j’ai clairement été celui qui a le plus travaillé dessus). Après avoir défini la structure avec les autres membres de groupe (structure qui a d’ailleurs dû être refaite 2 fois en raison de problèmes diverses que nous avions rencontrés parce que nous étions, eh bien, tout simplement débutants dans le domaine, et aussi un petit peu à cause du commanditaire du projet, qui a parfois changé d’idée), je me suis donc occupé de créer la BDD, ainsi que toutes les fonctions y permettant l’accès. Dans l’ensemble un travail assez basique mais qui n’était pas pour autant simple, avec tous les problèmes que j’ai pu rencontrer (notamment les quelques refontes de la BDD et le fait de débuter avec le SQL). D’ailleurs, quand je repense à ce que j’avais pu produite, tant au niveau structure que code, ou qu’architecture de projet, je me rends compte à quel point j’ai pu progresser depuis, et à quel point j’aurais fait les choses différemment si je recommençais le projet maintenant (j’ai encore des sueurs froides du fichier securtity.php, dans lequel il y avait, pour une quelconque raison, les appels à la BDD). Pour ce qui est du dernier projet en date sur lequel j’ai pu travailler avec du PHP, il s’agit de la refonte de la plateforme de gestion des adhérents d’EHBai, dont la refonte de la BDD était l’élément principal. La plateforme ayant été faite rapidement par un indépendant, ce dernier n’avait pas vraiment eu le temps de produire une BDD propre, et je me retrouvais donc à devoir mettre à jour une BDD composée uniquement de table ayant le strict minimum requis pour fonctionner. J’ai donc décider de plus ou moins repartir de zéro. Et globalement, c’était le même travail que pour le précédent projet, sauf qu’au lieu de partir de 0, j’avais déjà une base. Dans l’ensemble, j’ai quand même eu quelques problèmes pendant le projet. D’abord, j’ai aussi dû refaire le modèle une fois, pour ajouter certains éléments qui ont été jugés utiles pendant le développement. Mais le plus gros problème que j’ai eu, c’était sûrement le transfert des 700~ adhérents et 150~ communes dans la nouvelle BDD. C’est clairement ce qui m’a pris le plus de temps, notamment dû à l’ajout de nouvelles colonnes dans les tables sur la refonte. Je pense avoir globalement fait un travail assez propre, puisque l’objectif initial de réunir les différentes BDD utilisées par l’association en une seule a été réussi. Dans l’ensemble, je suis toujours content de pouvoir travailler sur du SQL, et même sur de la BDD de manière générale. C’est un élément avec lequel je suis à l’aise et que je connais bien. J’aimerai cependant m’améliorer, tant en SQL que dans la gestion de BDD en général (notamment apprendre d’autres langages/logiciels de gestion). Les BDD étant un élément central dans beaucoup de projets, je pense que j’aurai l’occasion de le faire.
L’Android et moi, c’est une relation disons compliquée. Au départ, lorsque j’ai commencé à l’apprendre lors du 4eme semestre à Intech, je ne l’appréciais vraiment pas (pour ne pas dire que je le détestais). Combiné au fait que le contexte de l’époque (début du covid), et ce n’est vraiment pas un bon souvenir que je garde de cette époque. Cependant, il s’agit tout de même d’un domaine que j’ai pu commencer à apprécier lorsque j’ai eu l’occasion de travailler sur un « vrai » projet Android. En effet, ma première expérience avec était assez confuse : en plein covid, complétement en télétravail (nouveau pour moi à l’époque), je devais travailler sur un projet qui ne m’intéressait pas plus que ça (développement d’une application pour une association de dance hip-hop), ça partait plutôt pour ce semestre de mon côté. Et j’ai en effet eu des difficultés pendant une bonne partie de ce dernier. Mais au final, à force de travailler en Android, j’ai commencé à moins le détester, pour finir même par l’apprécier. Même si je n’ai pas pu travailler aussi efficacement que je l’aurai voulu, je pense que ce projet m’a quand même beaucoup appris d’un point de vue personnel. Un autre projet sur lequel j’ai eu l’occasion de travailler en Android, était le développement de l’application Kajou (une application ayant pour but de faciliter l’accès à la connaissance pour les populations privées d’internet, par la lecture de carte SD spécifique qui leur était distribuées). Il s’agissait déjà d’un projet qui me parlait beaucoup plus, principalement la notion « humanitaire » de ce dernier. Lorsque je travaille sur ce projet, je suis en stage à Capgemini Nantes, mon objectif principal est donc d’apprendre et de monter en compétences. Dans la mesure où le projet touchait à sa fin, je n’ai en plus pas beaucoup eu l’occasion de travailler sur des fonctionnalités à mon niveau : il restait majoritairement, soit des fonctionnalités très simple, soit des très complexes. J’ai donc passé une partie du projet à observer le code (notamment au début), mais ça ne m’a pas empêché de prendre quelques tâches qui restaient aux alentours de mon niveau (bien qu'un peu en dessous tout de même). J'ai pars exemple eu l'occasion de m'occuper de problème de navigation dans l'application, certains chemins n'étant pas bien réalisés, ou bien m'occuper de régler des problèmes d'ergonomie, l'application n'étant pas parfait à certains endroits à ce niveau. Au final, même si je n’ai pas autant d’expérience avec l’Android qu’avec des langages comme le PHP, ça reste un domaine que j’apprécie. A l’avenir, j’aimerai bien avoir l’occasion de développer mes connaissances en Android, notamment en développant en Kotlin, puisque je n’en ai pas encore eu l’occasion (tous les projets auxquels j’ai participé à présent étant en Java).
Git est un système de contrôle de version, très largement utilisé dans le développement logiciel. Il permet de garder une trace des différentes versions d'un code source, facilitant la collaboration entre plusieurs développeurs. Git facilite grandement la collaboration des membres d’une équipe de développement, chaque développeur pouvant travailler sur sa propre copie du code en utilisant des branches distinctes. Ceci permet notamment de pouvoir travailler sur plusieurs fonctionnalités en simultané sans gêner le travail des autres. En cas de conflit (qui peuvent apparaitre si plusieurs développeurs modifient le même fichier), Git permet aussi de résoudre ces derniers en comparant les fichiers donnés par chacun et en permettant de choisir les modifications à apporter. Dès le début de mes études Git est devenu un outil indispensable sur les projets auxquels je participais. Depuis que j'ai commencé à travailler avec Git en septembre 2018, il est devenu un outil indispensable pour mes projets. En plus de permettre de travailler en équipe sur un projet, il assure une certaine sécurité au niveau de la sauvegarde des données. Au départ, l’utilisation de Git était cependant un peu compliquée. Lors de ma première année d’études, comme c’était la première année que j’utilisais l’outil, j’ai eu beaucoup de mal au départ. A l’époque, il n’y avait encore personne dans les projets sur lesquels je travaillais qui maitrisais l’outil. En l’absence de connaissances sur l’utilisation de cet outil, nous n’avions pas très bien compris comment utiliser le système de branches, et avions tout programmé sur la branche principale. Nous avions eu beaucoup de problèmes à ce niveau, et cela nous avait beaucoup retardé, puisque chaque problème nécessitait une attention particulière de notre part, et au final, l’outil censé nous faciliter la vie nous avait plus retardé qu’autre chose. Heureusement pour moi, je n’ai pas laissé cette mauvaise expérience affecter mon envie de progresser avec cet outil. Ainsi, au fil des projets scolaires j’ai pu peaufiner ma maîtrise de ce dernier, et ce jusqu’à arriver en entreprise. Mais ce n’est qu’une fois mon stage commencé que j’ai vraiment compris l’absolue nécessité de Git. Avant de pouvoir travailler sur de gros projet, il m’avait toujours semblé que Git était un outil fort utile pour les projets de développement, mais que l’on pouvait toujours réussir à faire sans au besoin. En effet, là où les projets que j’avais pu réaliser lors de mes études étaient des projets relativement petits sur des périodes de temps d’un peu moins de 6 mois, les projets en entreprises sont généralement beaucoup plus gros et beaucoup plus long. Là où l’on peut se permettre quelques erreurs sur des projets d’études, ces dernières ne coutant généralement pas très cher en temps sur d’aussi petit projets, quand un projet dure plus d’1 an et vois plus d’une dizaine de développeurs différents travailler dessus, il faut à tout pris minimiser ce genre d’erreurs. Ainsi, pas de place à l’aléatoire, chaque fonctionnalité est développée sur une branche à part et la branche principale n’est touchée qu’en fin de sprint (je prends ici l’exemple de la méthode Scrum), lorsque toutes les branches des fonctionnalités finies et testées sont fusionnées sur la branche du sprint, puis la branche principale. Je pense que c’est à que j’ai eu le plus l’occasion de progresser sur Git. Voir comment des professionnels utilisent un outil est toujours intéressant, mais particulièrement dans ce cas-là, j’ai pu observer une grande différence entre ce que je pensais savoir et la réalité de l’utilisation de ce dernier. Aujourd’hui, je ne pense pas encore avoir une maitrise complète de Git. Je suis parfaitement capable de l’utiliser pour travailler dans le cadre d’un projet, qu’il soit personnel ou professionnel, mais je manque encore d’expérience sur les commandes les plus complexe. J’ai eu l’occasion d’expérimenter une bonne partie des situations qu’un développeur rencontre souvent, mais certains problèmes spécifiques sont encore hors de ma portée. Mon objectif concernant Git actuellement est de combler ce manque de connaissance, afin de pouvoir parfaitement connaître cet outil.
Angular est un framework open-source de développement web, créé et maintenu par Google. Il a été initialement développé en 2010 sous le nom d’AngularJS, mais a été entièrement réécrit en 2016 sous le nom d’Angular. Depuis lors, il est devenu l’un des frameworks les plus populaires pour le développement web front-end. Angular est basé sur le langage TypeScript, qui est une extension de JavaScript. Il est utilisé pour développer des applications web complexes, dynamiques et interactives, en offrant une architecture modulaire et une gestion de l’état centralisé. Il facilite également la création d’applications mobiles à l’aide de la plate-forme Ionic, qui utilise Angular comme base de développement. De plus, Angular bénéficie d'une communauté active et d'un vaste écosystème de ressources, ce qui facilite l'accès à une documentation abondante, à des tutoriels et à un support de la communauté. Dans le contexte professionnel, la connaissance d’Angular est de plus en plus demandée. Les entreprises recherchent des développeurs Angular qualifiés pour travailler sur des projets de développement web front-end. En tant que tel, il est devenu un élément essentiel du portefeuille de compétences pour les développeurs web modernes. Le développement d’applications web multilingue est un défi important pour les développeurs. Prendre en compte les différences linguistiques pour offrir à l’utilisateur une expérience optimale est un aspect important de ce défi. J’ai eu l’occasion de travailler sur une application frontend Angular qui avait pour but de faciliter les communications entre des associations françaises, espagnoles et basques. J’ai donc été confronté à un défi intéressant, créer une directive Angular personnalisée pour permettre à l’application de fonction qu’importe la langue. Tout d’abord, il me fallait comprendre comment Angular permet de développer des applications multilingues. Ainsi, je me suis intéressé au module “@angular/localize”, que l’application fournit par défaut, et qui permet aux développeurs de traduire le contenu de l’application en plusieurs langues différentes. Cependant, même si je ne devais pas faire la traduction (ne parlant ni assez bien espagnol ou basque), il est très vite apparu que maintenir une traduction manuelle pourrait être un problème à l’avenir. Ainsi, il me fallait créer une directive personnalisée pour simplifier ce processus. Cette dernière, appelée « translate », donnait la possibilité de marquer un texte devant être traduit grâce à un attribut, qui serait ensuite traduit automatiquement dans la langue de l’utilisateur. La création de cette directive s’est cependant avérée plus difficile que prévu, notamment à cause de la nécessité de maintenir l’application pour le plus grand nombre de personnes, y compris les utilisateurs ayant recours à des lecteurs d’écrans. Malgré ces difficultés, j’ai finalement réussi à créer une directive répondant aux besoins de l’application, mais non sans de nombreux essais infructueux avant. Le résultat final était une directive permettant de traduire automatiquement les textes marqués en utilisant les fichiers de traductions appropriés, ce qui permettait de ne plus avoir besoin de gérer manuellement les traductions. Cette expérience a mis en lumière un aspect du développement que j’avais déjà commencé à observer : les défis du développement ne sont pas toujours techniques. Comprendre les besoins utilisateurs est nécessaire pour créer des solutions efficaces. L’utilisation de directives personnalisées m’a permis de considérablement simplifier l’utilisation multilingue de l’application, et offrir une expérience utilisateur optimale. Actuellement, je ne considère pas avoir atteint un niveau de maîtrise complet sur Angular. En vérité, je ne pense même pas l’approcher. Le framework étant en constante évolution, il est complexe de pouvoir affirmer ceci. Cependant, je suis confiant dans ma capacité à créer des applications web robustes et réactives. Etant aujourd’hui un choix populaire pour les grandes entreprises, je pense qu’il me faut encore plus renforcer mes compétences dans l’utilisation de ce framework, et continuer à suivre les nouveautés qu’il propose., pour maintenir des applications évolutives et efficaces. En investissant du temps dans l'exploration continue des fonctionnalités émergentes d'Angular et en appliquant les meilleures pratiques, je suis confiant dans ma capacité à évoluer constamment dans cette compétence et à contribuer de manière significative à des projets futurs.
En février 2019, je rejoins l’équipe d’admin de la Grosse Ligue (compétition étudiante officielle sur League of Legends), et commence par la même occasion mon apprentissage sur la gestion interne d’un tournoi. A l’époque, je suis complétement étranger à tout ce domaine. J’ai bien eu l’occasion de participer à quelques tournois (dont le tout premier segment de la Grosse Ligue commencé fin 2018), mais je n’ai jamais été que du côté des joueurs. La Grosse Ligue est donc une compétition organisée par l’éditeur de League of Legends (Riot Games), ouverte uniquement aux étudiants et en ligne. Le travail d’un admin tournoi ne représente rien de bien compliqué, si ce n’est peut-être le facteur humain, et la taille du tournoi (une centaine d’équipes sont inscrites, soit entre 500 et 700 personnes dépendant du nombre de remplaçants). En effet, nous sommes là globalement pour 3 choses : noter les scores, arbitrer, et répondre aux questions. Le facteur humain en question est représenté par les joueurs, qui pour la plupart n’interagissent tout simplement pas avec nous (chaque équipe ayant un capitaine, c’est ce dernier qui nous parle la plupart du temps). Cependant, parmi tous les joueurs qui demandent notre aide, eh bien certains sont un peu particuliers. Déjà, il y a le cas de ceux qui posent une question qui a déjà été répondue plusieurs fois (la plus courante étant sur l’horaire des matchs, ce dernier étant noté à au moins 5 endroits sur le discord de la compétition), mais nous avons aussi eu certains cas plus graves qu’agaçants. Par exemple, il est arrivé plusieurs fois qu’une équipe en insulte une autre, et que nous devions sévir, parfois à la surprise de l’équipe punie (eh oui, insulter la généalogie de l’équipe adverse est malheureusement passable de disqualification, qui l’eut cru). Et globalement c’est ça être admin d’un tournoi en ligne : répondre aux mêmes questions en boucles, rentrer les scores, passer un bon moment avec les autres admins pendant les soirées de matchs, et, de temps en temps, rappeler qu’être un être humain décent est nécessaire pour participer à cette compétition. Mais la Grosse Ligue n’est pas la seule compétition dont j’ai eu l’occasion de faire partie de l’équipe d’organisation. Depuis début 2022, je participer à des tournois sur le jeu Super Smash Bros Ultimate (SSBU), et j’ai eu l’occasion de participer au développement de la communauté du Pays Basque, tant en tant que joueur, qu’en tant qu’organisateur. L’association Smash Côte Basque ayant débuté les tournois peu après que je me sois mis au jeu, je dois admettre que j’ai eu beaucoup de chance. Très tôt, j’ai voulu aider sur les tournois. Au début, vu que nous n’étions qu’à peine une dizaine, eh bien mon aide n’était pas vraiment nécessaire. Cependant, après les vacances d’été de 2022, il y a eu quelques changements : un membre du conseil d’administration de l’association ayant déménagé, et certains nouveaux joueurs étant arrivés, je pouvais enfin aider. Au début, j’ai surtout pu amener un ordinateur pour pouvoir stream les tournois hebdomadaires. Mais au fil du temps, j’ai pu participer de plus en plus à l’organisation, et je suis maintenant « officiellement » un TO (Tournament Organizer) de Smash Côte Basque. Mais en quoi ça consiste au final ? Eh bien en soit, pendant les tournois ce n’est pas si différent de la Grosse Ligue : je suis là pour appeler les joueurs et rentrer leur scores (en faisant attention à lancer les bons matchs afin de fluidifier au maximum le déroulement du tournoi, c’est dommage de faire attendre quelqu’un 30 minutes pour son match pendant que d’autres personnes enchainent). Mais en dehors des tournois, je suis aussi là pour aider à l’organisation tout simplement, donc pour donner mon point de vue sur le budget, les dates et la direction que l’on souhaite prendre. En gros, de l’évènementiel, mais à une échelle assez petite, notre association ayant tout juste été créée. Quand j’ai commencé à me plonger dans ce milieu, c’était uniquement parce que je n’avais pas d’équipe pour participer à la Grosse Ligue en 2019. Mais au fil du temps, je me suis rendu compte à quel point participer à l’organisation et à la gestion de tournois était quelque chose que j’appréciais. Une activité que j'apprécie d'autant plus qu'elle m'a beaucoup aidé à gérer 2 éléments très importants : le stress et les imprévus. A l’avenir, j’aimerai pouvoir être considéré comme un TO vraiment compétent, et pourquoi pas être à l’origine d’un tournoi qui marquera la communauté.
Je me dois bien d’admettre qu’avant ma première année d’alternance, l’autonomie n’était pas vraiment mon fort. En effet, je n’avais pas vraiment l’habitude d’être plus ou moins laissé seul. J’ai toujours eu l’habitude de devoir travailler en groupe, c’est pourquoi ma première année d’alternance à EHBai a vraiment été une année spéciale pour moi. Hormis le contexte de cette année, le simple fait que je doive travailler seul m’a beaucoup fait changer mes habitudes de travail. Je ne cacherai pas qu’au début, c’était franchement assez désordonné, quand on combine le fait de travailler sur un gros projet, de plus en autonomie, eh bien, je ne savais plus où donner de la tête. Rapidement, je me suis dis que le plus efficace serait de faire de ne pas me précipiter, et d’être bien sûr d’avoir terminé une étape avant de repartir sur une autre. Au départ, ça marchait plutôt bien, vu que je me devais simplement de fournir une nouvelle structure pour la Base de Données de l’outil de gestion des adhérents. Ensuite, quand j’ai dû m’attaquer à la refonte du site en lui-même, là c’était plus compliqué. Vu que je ne pouvais pas repartir de 0, je devais mettre à jour le code, et c’est là que les problèmes commencent. Eh bien oui, comme il s’agissait d’un site internet tout de même relativement complexe, beaucoup d’éléments étaient liés, ce qui me forçait à changer plusieurs parties du site en même temps, et donc à travailler dans le désordre. Cependant, à force d’apprendre à connaître le site j’ai pu réussir à travailler proprement aux alentours de la moitié de l’année (des projets sont arrivés pendant l’année qui m’ont un peu empêché de travailler sur cet outil). Lors de ma seconde année d’alternance, j’ai aussi eu l’occasion de beaucoup travailler en autonomie, quoique plus encadré que durant la première. En effet, dans le principe, c’était plus ou moins la même chose (mettre seul un site internet à jour, plus des missions en parallèle), mais dans le contexte du travail dans le service public (qui plus est l’armée), chaque décision/changement important que je faisais devait être devait rentrer dans les clous, pas de place à l’improvisation. Ce qui fait donc que cette année a été un entre deux, puisque, bien que mon champ d’action fût très restreint, j’été tout de même techniquement en autonomie. Ce qui d’ailleurs est selon le pire des 2 mondes, puisque l’avantage du travail en autonomie est tout de même de pouvoir choisir à 100% comment on aborde le sujet (ce que je ne pouvais pas tout le temps faire, puisque par exemple, pour des raisons de sécurité, certaines solutions que je proposais étaient tout simplement refusées). Au final, je pense que mes 2 années d’alternance m’ont beaucoup appris au niveau du travail en autonomie. J’ai même pu le constater durant certains petits projets personnels que j’ai réalisés, mais ma méthode de travail s’est considérablement améliorée. Cependant, elle est encore loin d’être parfaite, et je m’efforce de l’améliorer autant que je peux au quotidien.
Le travail d'équipe est une compétence essentielle à posséder, tant dans le milieu professionel, que personnel. La plupart des projets sont réalisés en équipes, et on ne peut pas accomplir autant seul qu'en apprenant à travailler ave les autres. Fort heureusement pour moi le travail d’équipe a toujours été quelque chose auquel j’ai été habitué, malgré mes problèmes de communication. Dès mon enfance, j’ai eu l’occasion de commencer à l’apprendre en pratiquant plusieurs sports collectifs (football, handball ou volleyball), mais comment est-ce que tout ceci m’a vraiment servi à développer cette compétence dans le domaine professionnel aujourd’hui ? Eh bien, au départ, c’était assez compliqué. Lorsque j’ai commencé mes études, j’avais de grosses lacunes en communication (aujourd’hui pour la plupart corrigées), qui ne m’ont pas rendues la tâche facile lors de mes premiers semestres. En effet, à l’époque j’étais encore très inexpérimenté, et très peu sur de moi, ce qui me poussait souvent à rester bloqué sur une tache sans en parler aux autres membres du projet, par peur que ces derniers ne le prennent mal. Si je dois penser aux projets qui ont le plus impactés la manière dont j’aborde le travail d’équipe, je pense que le premier est certainement Les Bons Clics. En effet, ce projet, en plus d’arriver à un moment particulier de mon stage où j’en avais vraiment besoin, m’a aussi montré une manière que j’apprécie beaucoup pour travailler en équipe en télétravail. La plupart des développeurs du côté Capgemini sur ce projet étant des stagiaires/alternant, la manière qu’ils avaient trouvé (je les ai rejoints assez tard dans le projet) pour combler le manque d’expérience était tout simplement de rester en appel toute la journée sur teams (c’était en 2021, donc nous étions en télétravail). Ainsi, dès que quelqu’un avait un problème, il pouvait très rapidement le signifier aux autres, et le problème était souvent très rapidement réglé. Cette méthode avait aussi l’avantage de proposé une ambiance plus agréable que du télétravail « classique », puisque nous nous entendions assez bien, ce qui rendait les journées plaisantes (bien que ce dernier point soit assez variable en fonction des personnes présentes dans le projet). Dans les méthodes de travail en équipe avec lesquelles j’ai beaucoup l’habitudes de travailler, il y a aussi celle que nous utilisons beaucoup dans les associations dans lesquelles je m’investis. Comme nous sommes tous sur notre temps libre, et que ce dernier est assez limité, la manière la plus efficace à laquelle je peux penser est celle de réunions hebdomadaires/bi-hebdomadaires, où chacun dispose d’une mission précise pendant ce temps (ça peut par exemple être de contacter des partenaires potentiels, de demander des devis, ou de réfléchir à un format de tournoi). Bien évidemment, chacun peut demander de l’aide quand il ou elle en a besoin, et peut aider les autres s’il ou elle le souhaite. Cette méthode de travail est, à mon avis, la meilleure possible pour les associations dans lesquelles je suis, mais elle présente quelques défauts. Déjà, elle se base beaucoup sur le volontariat sur le temps libre (logique pour des associations), ce qui signifie que l’on peut très vite prendre du retard si un membre du projet a un imprévu. Ensuite, lors des périodes de rush, il y a souvent des problématiques de temps dues au retard inévitablement pris précédemment, et celles-ci doivent être résolues très rapidement, ce qui est souvent très stressant et chronophage pour une poignée de personnes qui s’investissent à fond dans le projet. Mais alors, quelles sont les solutions ? Eh bien à mon avis, c’est compliqué d’en trouver. En effet, pour palier à ces problèmes, il faudrait soit planifier parfaitement les projets en prédisant tous les aléas (impossible, surtout en évènementiel ou rien ne se passe jamais comme prévu), soit forcer les gens à travailler plus (ça découragerait plus qu’autre chose), soit créer du temps (peut être la solution la plus simple au final, j’en parlerai au CNRS). Nous sommes donc condamnés à travailler sur des projets qui subissent beaucoup plus les aléas que les projets professionnels (et pourtant on arrive quand même à avoir un rendu qui s’en rapproche beaucoup, c’est pas beau ça ?) Au final, quand je regarde le chemin que j’ai parcouru dans le domaine du travail d’équipe, je me dis que j’en ai vraiment fait beaucoup. Au départ, je n’arrivais même pas à communiquer même mes plus petits problèmes, et maintenant, je pense pouvoir dire sans hésitation que je suis quelqu’un sur qui l’on peut compter lors d’un projet, puisque je n’ai plus de problème à demander de l’aide quand il le faut, mais je pense aussi avoir gagné suffisamment en compétences pour à mon tour aider les autres membres d’un projet lorsqu’ils ont des difficultés. Mon objectif à terme est de pouvoir être un élément indispensable à un projet que je rejoins, non pas forcément de par mes compétences techniques, mais aussi et surtout de par ma capacité humaines en tant que collègue.
Jusqu’à assez tard dans mes études, je n’ai pas vraiment eu l’occasion d’acquérir de l’expérience dans la gestion de projet. Bien évidemment, j’ai pu observer en interne comment beaucoup de projets se sont déroulés, mais être chef de projet était toujours quelque chose que je redoutais un peu. En effet, dans la mesure où on peut séparer le rôle de chef de projet en plusieurs parties : la partie "travail", qui consiste à suivre les différents aspects du projet, gérer les planings, et globalement rendre le projet fluide, et la partie relationnelle, que ça soit avec les commanditaires, ou avec les autres membres du projet. La partie "travail" m'inquiétait un peu au départ, mais cela reste quelque chose qui s'appprend, et qui rentrait clairement dans mes capacités à l'époque. Cependant, ayant de gros problèmes de communication, la partie relationnelle m'inquiétait beaucoup, parce qu'elle allait me forçait à travailler sur des aspects que je ne maîtrisais en rien. Le premier projet sur lequel j’ai eu l’occasion d’apprendre la gestion de projet, a été réalisé durant mon troisième semestre à Intech (septembre 2019/février 2020). C’était sur le Projet de Formation Humaine, et durant ce semestre, l’objectif était de réaliser une formation. Notre projet se fera donc en collaboration avec l’Etablissement Français du Sang (l’EFS), et aura pour objectif de sensibiliser des étudiants au don du sang, afin de les inciter à aller donner s’ils le peuvent. Je me retrouve chef de projet un peu par défaut, puisque j’étais le seul dans le groupe à ne jamais l’avoir été, et il me fallait donc de l’expérience dans le domaine. Et autant dire que j’en avais besoin. En effet, même si le projet était relativement petit, j’ai rapidement pu observer ce à quoi je m’attendais, étant stressé et très timide, j’ai beaucoup de mal à endosser correctement mon rôle. Cependant, malgré ces problèmes, l’équipe du projet m’aide beaucoup, et nous réussissons tout de même à arriver au bout du projet. Même si du point de vue de mon travail en tant que chef de projet ce n’était pas une grande réussite, on ne s’attendais pas à ce que le projet lui marche aussi bien (25 donneurs, dont 6 nouveaux). Ainsi, avec cette première expérience, j’ai pu observer les aspects que j’avais à retravailler (et il y en avait beaucoup). Malheureusement, je n’ai pas vraiment eu l’occasion d’être à nouveaux chef de projet lors de ma scolarité. Cependant, m’investissant dans l’associatif, j’ai pu eu l’occasion d’être chef de projet sur un projet avec le SGN que j’ai moi-même proposé : une ligue étudiante sur le jeu Super Smash Bros Ultimate (SSBU). Pour donner un peu de contexte, le SGN organise chaque année un appel à projet auprès de ses membres. Comme nous n’étions pas présent sur SSBU, et que je commençais à bien connaître la communauté du jeu, je me suis dit que nous pourrions organiser une ligue. L’idée du projet ayant plu, le SGN travaillera sur une ligue étudiante de SSBU durant l’année 2022/2023. Ayant proposé le projet et n’ayant personne d’autre de plus expérimenté motivé pour prendre la gestion du projet en main, je me propose à ce rôle. Ayant pris beaucoup de maturité en 3 ans, il est beaucoup plus facile pour moi d’être assertif, et je suis beaucoup plus proactif, ce qui, selon moi, étaient mes deux plus gros problèmes lors de ma première gestion de projet. Ainsi, nous avons très rapidement un planning assez précis, des objectifs assez clairs et une équipe motivée. Cependant il y a très rapidement de gros problèmes qui arrivent, le premier étant le format de la compétition que nous allons organiser : en ligne ou en présentiel ? Dans la mesure où le tournoi se veut à l’échelle nationale (en termes de qui peut s’inscrire) le choix peut paraitre simple. Cependant, le mode en ligne de SSBU est une plaie absolue, et il est très difficile de faire de la compétition dessus (beaucoup ont essayé, peu ont réussi à perdurer). Mais d’un autre côté, faire du présentiel est hors de question, nous n’avons pas le budget. Il a donc fallu prendre la difficile décision de faire une compétition en ligne, mais de quand même faire une finale en présentiel. Vient ensuite le deuxième gros problème, ce projet se faisant dans le cadre de l’associatif, les gens ont des disponibilités assez fluctuantes, et ont parfois un manque de motivation. Il faut donc gérer le tout, et la meilleure manière que j’ai trouvé était de prendre de mon temps pour faire rattraper les réunions ratées aux personnes non présentes (lire le compte rendu c’est bien, mais c’est toujours mieux de pouvoir discuter). Ainsi le projet avance bien, du moins au début. En effet, au bout de quelques mois, les problèmes de disponibilités deviennent de plus en plus nombreux : partiels pour certains, travail sur d’autres projets pour d’autres, mais de moins en moins de personnes peuvent être présentes aux réunion (nous étions souvent entre 3 et 4 à ce moment-là), le projet stagne (d’autant qu’ayant eu une opportunité pour faire du présentiel, nous avions décidé de la saisir, à l’avis général). Nous arrivons donc vers fin avril, et, au vu du retard pris sur le planning, la décision est prise de repousser le projet à la rentrée prochaine, afin de pouvoir proposer une compétition vraiment travaillée et prête, plutôt que quelque chose d’à moitié fini qui ne plaira pas à grand monde. A l’heure où j’écris ces lignes, le projet est toujours en travail, et je pense que nous pourrons sortir quelque chose de vraiment intéressant pour septembre Ainsi, le bilan des deux projets sur lesquels j’ai été à la gestion n’est pas spécialement glorieux : sur le premier je me suis laissé porter par les évènements par manque d’expérience, et sur le second des facteurs extérieurs ainsi que mon propre manque de temps sur la fin ont fait repousser le projet de quelques mois. Dans l’ensemble, je pense que mon plus gros problème est la prévision des imprévus. J’arrive à les gérer relativement correctement (si c’est possible), mais les prévoir serait tout de même mieux. Je pense que ma plus grande qualité dans ce domaine est que j’arrive à rester lucide et ne pas paniquer. Au final, je ne me considère pas vraiment comme un excellent chef de projet, par contre, je suis bon dans la gestion de projet. A l'avenir, j'espère avoir l'occasion de bien progresser dans ce domaine. J'ai déjà l'occasion de m'améliorer petit à petit, et devenir un chef de projet convenable. Mais, ça peut paraître bizarre de le dire, je pense que ce qu'il me faudrait pour devenir vraiment bon dans ce domaine, c'est tout simplement d'échouer, afin de pouvoir apprendre au mieux de mes erreurs.
Le monde professionnel étant, eh bien, mondial, la maitrise de l’anglais est très importante afin de pouvoir comprendre et communiquer avec le maximum de personne. Cette compétence est d’autant plus primordiale qu’elle permet aussi de faciliter le travail de développeur, dans la mesure où la plupart des ressources sont présentées dans cette langue. Même si cette langue est nécessaire à mon métier, je n’ai pas attendu de le pratiquer pour pouvoir la parler. Etant un grand amateur de jeux en ligne depuis de nombreuses années, j’ai eu l’occasion de commencer à la pratiquer très jeune. J’ai aussi eu l’occasion de souvent voyager dans des pays non francophones, ce qui m’a beaucoup aidé à améliorer mon anglais (en particulier la compréhension, certains accents étant assez spéciaux). Pendant mes études, j’ai pu travailler à l’obtention du TOEIC, que j’ai obtenu avec un score de 975/990. Cependant, il m’est assez complexe de citer un moment particulier où l’anglais m’a aidé très utile dans ma vie professionnelle. En effet, je n’ai encore pas eu l’occasion de travailler avec des personnes non francophones, ou de réaliser un projet entièrement en anglais. Par contre, il m’est inconcevable de réaliser n’importe quel projet sans ne serait-ce qu’utiliser une fois cette langue. La plupart des ressources que j’utilise sont en anglais, et ça reste la première langue dans laquelle je fais mes recherches lorsque je suis en difficulté. A mon sens, ce manque de pratique dans le monde professionnel est ma plus grande faiblesse dans la maîtrise de cette langue. Bien que je n’aie aucun souci à comprendre l’anglais, j’ai un gros problème pour m’exprimer avec un accent correct du fait de ce manque de pratique. Il s’agit d’un défaut sur lequel j’essaie de travailler depuis des années, mais avoir un bon accent est une chose très difficile à réaliser. C’est pourquoi j’essaie de parler le plus possible en anglais quand j’en ai l’occasion. Ayant souvent l’opportunité de voyager ou d’interagir avec des personnes non francophones, j’ai l’occasion d’améliorer la fluidité de mon anglais parlé, mais pas réellement mon accent. Je pense donc qu’il y a deux solutions pour améliorer mon accent. La première et la plus efficace, trouver des natifs et parler avec eux, beaucoup et pendant un long moment. La deuxième, la plus simple, continuer à regarder des vidéos de natifs et essayer d’imiter leur accent et leur diction seul. Ces deux méthodes ont aussi l’avantage d’améliorer encore plus ma compréhension ainsi que mon vocabulaire ce qui est non négligeable. Un autre souci potentiel que je pourrais avoir avec ma maîtrise de l’anglais, est le fait de bien l’appliquer à l’ingénierie logicielle. En effet, c’est une chose de comprendre/ discuter dans cette langue, ou de comprendre/discuter de sujet complexe concernant ce métier, mais c’est un exercice beaucoup plus compliqué que de mélanger les deux. Pour m’améliorer dans ce domaine, je ne vois qu’une solution, la pratique avec des professionnels (natifs de préférence, mais il pourrait être intéressant de tester l’expérience avec des personnes ayant un accent un peu plus… exotique).
Alternance d'une année durant laquelle j'ai eu l'occasion de travailler sur la création de modules Sharepoint personalisés, ainsi que le développement de certains petits programmes pour faciliter l'affichage des plannings de vols dans la base, le tout principalement en autonomie.
Alternance d'un an durant laquelle j'ai eu l'occasion de travailler sur la refonte du système de gestion interne des adhérents de l'aassociation, ainsi que l'encadrement d'un stagiaire présent pendant 1 mois
Stage de 6 mois durant lequel j'ai eu l'occasion de travailler exclusivement en méthode Scrum sur un projet Android (l'application Kajou) et un projet Web (le site LesBonsClics)
Etudiant à Intech au campus de Dax en spécialité Ingénierie du logiciel. J'ai eu l'occasion de travailler sur beaucoup de différents projets informatiques ou de formations humaines.